Counsellors who work with people with a precarious residence status often feel powerless. They only seem to be able to provide emergency assistance. Is there anything more they can do, other than ‘put out fires’?
Les accompagnateurs de résidents précaires se sentent souvent impuissants. Ils ont l’impression d’être limités à offrir de l’aide urgente. Comment peuvent-ils faire plus que de parer au plus pressé? Que peuvent-ils signifier de plus pour ces personnes?